Réorganisé, OBS exhibe ses expertises lors de son 1er Orange Summit  

Depuis plusieurs années, Orange organise son show Hello, en fait depuis l’arrivée de Stéphane Richard à la tête de l’opérateur, avec la mise en avant des solutions grand public – surtout – et entreprise. Orange Business Services (OBS), l’activité BtoB qui a réalisé un chiffre d’affaires de 7,2 milliards d’euros en 2017 (41 milliards d'euros au total pour Orange) n’avait jamais organisé de salon pour présenter ses solutions et services. C’est désormais chose faite avec l’Orange Summit qui se tient les 4 et 5 avril au Palais des Congrès, porte Maillot à Paris. L’occasion de souligner le travail réalisé par Thierry Bonhomme, l’actuel directeur général d’OBS qui va bientôt passer la main à un Autrichien, Helmut Reisinger, qui a hissé OBS à la troisième place sur le marché des SSII françaises, derrière Capgemini et Atos (selon le CA consolidé mondial).

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Distributeur de billets piraté à Paris : 21 260€ volés

Les cloches de Pâques ont failli passer pour un pirate moldave à Paris. Ce dernier a en effet pris pour cible lundi un distributeur de billets appartenant à la Caisse d'Eparge situé rue du Commerce dans le 15e arrondissement de la capitale. Grâce à un ordinateur relié au DAB, ce dernier a réussi à retirer 21 260 euros avant d'être arrêté en flagrant délit par la police. Trahi par les caméras de surveillance et la réactivité des agents de sécurité du poste de contrôle de la banque qui ont aussitôt prévenu les forces de l'ordre, le pirate a été placé en garde à vue.

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Allianz anticipe les risques potentiels de l'Intelligence artificielle

Le rôle d'un assureur, dont le métier est la couverture de risques, est aussi d'étudier et d'anticiper l'évolution des risques à couvrir. C'est ainsi que Allianz Global Corporate & Specialty (AGCS) a publié une réflexion baptisée « The Rise of Artificial Intelligence : Future Outlook and Emerging Risks ». Comme son titre l'indique, cette réflexion vise à cerner l'évolution des risques impactant les entreprises à cause de l'émergence de l'intelligence artificielle.

Comme nous l'avons relevé sur la CIOnférence du 20 mars 2018, l'intelligence artificielle peut contribuer à baisser les risques encourus par les entreprises en améliorant leur sécurité, notamment leur cybersécurité.

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Reconnaissance faciale : après le mobile, les entreprises ?

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Les clés du RSSI du Sesan pour une santé numérique sécurisée

Le monde de la santé raffole des acronymes, le Sesan (service numérique de santé), assure la maîtrise d'ouvrage des projets de e-santé en Ile-de-France, une mission confiée par l'ARS, Agence régionale de santé. Le Sesan tenait son assemblée générale jeudi 29 mars avec une importante contribution du RSSI Rémi Tilly. Le Sesan se met dans les pas de la stratégie gouvernemental adoptée en février, préconisant l'accélération du virage numérique ce qui modifie les missions du RSSI. Jusqu'alors, la santé a vécu en circuit assez fermé contrairement à tous les autres secteurs. La transformation digitale l'oblige à raisonner et à fonctionner en termes de systèmes d'information ouverts, c'est une autre révolution.

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La sécurité des développements trop négligée

La cybersécurité comporte un grand nombre de volets et il en est un qui, visiblement, est négligé : le développement et l'intégration d'applications. Une étude réalisée par Freeform Dynamics sur la commande de CA Technologies pointe cet aspect particulier de la cybersécurité, l'éditeur visant à promouvoir une démarche de type DevSecOps, c'est à dire de développement avec sécurité native et mise en production agile.

Selon cette étude, pourtant, la croissance de l'entreprise est favorisée par le développement applicatif pour 88 % des répondants. 86 % y voyant même une clé de leur transformation numérique. Mais 79 % des Français (contre 71 % des Européens) jugent que les problématiques de sécurité en lien avec le développement applicatif sont de plus en plus graves.

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Linux 4.16 mieux armé contre Meltdown et Spectre

Il n'y a pas que les poissons qui sont de sortie le 1er avril. C'est également la date choisie par Linus Torvalds, le créateur de Linux, pour annoncer la disponibilité de la v 4.16 du plus célèbre système d'exploitation open source. Parmi les principales améliorations de cette version, on retiendra une meilleure protection contre les vulnérabilités Spectre et Meltdown pour les systèmes IBM Z s390, Hyper-V et ARM64-bits, sachant que la fonction Secure Encrypted Virtualization pour les processeurs AMD utilisés dans des environnements virtualisés basés sur KVM est désormais supportée.

A noter aussi le support de l'architecture processeur Andes NDS32 RISC que l'on retrouve dans de nombreux terminaux et applications IoT (multimedia, réseau, stockage.

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L'Epita et l'UTT ouvrent un diplôme d'université cybersécurité

L’Université de Technologies de Troyes (UTT) et l’école d’informatique Epita annoncent l’ouverture d’un cycle de spécialisation sur la sécurité des usages numériques à la rentrée 2018. Intitulé « Mise en œuvre de la sécurité numérique », ce diplôme d’université (DU) s’adresse à des professionnels de l’IT, des développeurs, des administrateurs réseau, ou des chefs de projets qui souhaitent développer leurs compétences pour atteindre un niveau confirmé dans l’un des quatre domaines suivants : la sécurité informatique dans la conception, le développement et la mise en production, la sécurisation des réseaux et des infrastructures, celle appliquée à la gestion de projet, ainsi qu’aux systèmes industriels.

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La Sécurité Sociale poussée à prendre le virage du numérique

Malgré tous ses échecs, Louvois, Chorus, ONP, l'Etat et ses dépendances ne pourront pas reculer devant leur nécessaire révolution numérique. Le think tank Institut Montaigne publie une note « Protection sociale : une mise à jour vitale » qui propose d'appliquer à notre système français une révolution digitale. Ce serait le meilleur remède après des décennies de querelles sur le déficit et une insatisfaction chronique des usagers et bénéficiaires.

Le think tank remarque que censé leur faciliter la vie, le système de protection sociale peut apparaître comme un fardeau, source de complexité administrative et de découragement pour les assurés. Il cite deux exemples, quatre ménages éligibles sur dix pour le RSA socle ne demandent pas son versement, ils sont trois sur dix pour les allocations familiales.

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Les ETI négligent les failles de sécurité internes

Si les grandes entreprises sont fortement sensibilisées aux risques cyber, la situation est plus contrastée dans le segment en dessous, les ETI, celles qui regroupent entre 500 et 5 000 collaborateurs. Le cabinet d'études et de conseils PwC et le courtier en assurances Bessé ont mené une enquête sur 432 ETI françaises pour connaître leur perception de ce type de risque. Principale caractéristique, elles estiment qu'il est d'abord d'origine externe, l'étude montre au contraire qu'il est avant tout interne. Seuls 17% des incidents constatés l'an passé sont dus à une cyberattaque externe organisée, 54% des entreprises constatent qu'ils proviennent de salariés actuels ou passés.

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La révolution numérique à l'heure de la transparence de la vie privée

Le droit à la vie privée, considéré pendant deux siècles comme un élément de notre civilisation serait-il remis en cause par l'obsession de la transparence qu'imposent les nouvelles technologies ? C'est la question qui traverse le livre « Mortelle transparence » publié chez Albin Michel par Denis Olivennes, patron de Lagardère Média et Mathias Chichportich, avocat spécialisé en droit pénal et en droit des médias. Ces deux schumpétériens déclarés, donc partisans de la destruction créatrice comme facteur de progrès, ont voulu en moins de 200 pages nous réveiller et poser quelques questions.

Ce qui les gêne ? L'idéologie de la transparence alliée à l'emballement de la révolution numérique.

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La 5G pas assez sécurisée pour l'Enisa

Mauvaise nouvelle pour le déploiement de la 5G. Les réseaux mobiles sur lesquels se connectent des appareils - souvent mal sécurisés - ne disposent pas de protocoles d’authentification et de chiffrement suffisant. Dans un rapport publié hier, l'agence européenne chargée de la sécurité des réseaux et de l'information (Enisa), craint d’une part que les failles déjà identifiées dans les protocoles de signalisation téléphonique SS7 et Diameter utilisés par les opérateurs pour les communications mobiles 2G, 3G et 4G ne se retrouvent également dans la 5G. De la même manière, ces failles permettraient d'écouter ou d'usurper le trafic 5G et d'intercepter les informations de localisation, comme l’a déclaré l’Enisa.

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Ne vous noyez pas dans votre lac de données

Les données demeurent la pierre angulaire de tout projet de transformation numérique. Si elles sont correctement intégrées, traitées et consommées, elles apportent une nouvelle vision, en rendant la prise de décision plus pertinente et permettent aux décideurs de s’écarter du subjectif, des hypothèses tronquées et de l’à peu près.

Dans un monde en constante évolution, où les données sont de plus en plus nombreuses, la nécessité de les regrouper s’est imposée d’elle-même. L’intention initiale étant de les croiser pour en déduire des informations pertinentes. D’après une étude de PwC et d’Iron Mountain, 75% des dirigeants sont persuadés que le futur de leur entreprise repose sur leur capacité à tirer le meilleur de leurs données.

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Aruba revendique sa légitimité dans l'IoT

Partant du postulat que les dispositifs IoT doivent être connectés au réseau, Aruba est bien décidé à avancer ses pions pour se rendre incontournable. L’entreprise a d'ailleurs beaucoup d'expérience dans le domaine des dispositifs embarqués. Une place durement acquise à l'époque du BYOD, qui couvre l'approvisionnement, l’authentification, les niveaux de privilège et la surveillance, des compétences qui répondent bien aux besoins de l’IoT, en particulier pour ce qui est la sécurisation de ces dispositifs. « À l'heure actuelle, la sécurité est le problème numéro un de l’IoT », a déclaré Keerti Melkote, co-fondateur et président d'Aruba, lors d'une interview.

Une partie importante de l’IoT d'entreprise - par opposition à l’IoT grand public ou à l’IoT industriel - concerne les équipements intelligents des bâtiments, aussi bien la sécurité physique, l'éclairage, que le chauffage, la ventilation et la climatisation, des domaines qui dépendent traditionnellement des services d’équipement, et non de l’IT.

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Emmanuel Macron annonce 1,5 Md€ pour l'intelligence artificielle

L’intelligence artificielle est une évolution économique, éthique et donc politique, a pointé le président de la République, Emmanuel Macron, en clôture du colloque IA for Humanity, hier après-midi au Collège de France, en soulignant le travail de synthèse « extrêmement éclairant » du rapport Villani sur l’IA, remis cette semaine au Gouvernement. « Il ne faut pas avoir peur et refuser le changement car il est à l’œuvre partout et peut conduire à des innovations qui nous permettront de vivre mieux, mais il ne faut pas non plus être naïf et penser que le changement portera en lui-même les conditions de sa propre régulation », a-t-il déclaré en préambule.

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